• Les abus et tarifs exotiques des gros syndics ne sont pas prêt de cesser

    La seule lecture de cet article suffit à justifier - si besoin était - la sage et responsable décision de la copropriété, prise en 2011 et votée en 2012, de rompre avec Nexity.

    Si les dessous de la séparation furent un bras de fer violent dont les copropriétaires n'ont eu qu'une petite idée et que la copropriété peut s'estimer spoliée par les années de gestion subies (la "disparition" de 9.000 euros de loyers du studio est emblématique), elle a au moins à présent le grand bénéfice d'avoir une vue sur sa gestion, la maîtrise de ses investissements et un accès libre et direct avec son syndic.


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