L'adéquation entre un conseil syndical très impliqué et un syndic vraiment professionnel est incontestablement le bon attelage pour une copropriété saine dont les charges sont strictement conformes aux besoins et l'avenir du patrimoine géré de manière responsable et prévoyante.

Si la tendance actuelle montre sans aucun doute que de plus en plus de copropriétés à taille humaine s'orientent vers une gestion autonome pilotée par un copropriétaire faisant fonction de syndic bénévole, la formule proposée par ces 2 syndics (d'autres y songent sérieusement) pourrait bien être la solution intermédiaire d'avenir.

En tout cas, en ce qui concerne la copropriété Lacordaire, c'est sur ce principe de partage de responsabilités et d'équilibre que le choix de notre syndic a été fait en 2012 pour remplacer celui dont la gestion nous a dépossédé d'une partie de nos revenus (9.000 euros de loyers du studio) et s'est révélée inexistante si ce n'est dangereuse en matière de suivi et de conseil (ex l'état de la toiture).